top of page
Rechercher


Le mot du sophrologue : Quand le corps dit stop avant la tête...
Avant le grand effondrement, il y a des murmures, des tensions, des nuits hachées, des maux qu’on “n’a pas le temps” d’écouter. Le corps envoie des messages — la tête, elle, continue de cocher des cases. En tant que sophrologue, j’ai souvent rencontré des personnes qui se décrivaient comme “fatiguées, mais ça va”. Jusqu’au jour où le corps décide à leur place . Impossible de se lever, de penser, de respirer autrement qu’en apnée. Le burnout n’arrive pas soudainement. C’est le
Fabien Vandenbussche
12 nov.1 min de lecture
bottom of page